Le chien policier Max alerté sur l’ours en peluche d’un enfant : ce qu’il a trouvé a laissé tout le monde sans voix

Les aéroports s’arrêtent rarement. Ce sont des lieux en constante effervescence : les passagers se précipitent pour prendre leur correspondance, les chariots à bagages s’entrechoquent, les haut-parleurs bourdonnent de noms qui se confondent. Mais au cœur du terminal B de Westbridge International, tout s’est arrêté. Tout cela à cause d’un aboiement.

Max, le chien-guide, n’était pas du genre à aboyer sans raison. Malinois belge chevronné de six ans, d’une précision infaillible, Max avait flairé des explosifs, des drogues et des menaces invisibles à l’œil nu. L’agent Mark Daniels, son maître et compagnon le plus proche, lui faisait plus confiance qu’à n’importe quel collègue. Le lien qui les unissait n’était pas seulement dû à l’entraînement, il était instinctif.

C’est pourquoi, ce mardi pluvieux, lorsque Max s’est figé au milieu de sa foulée et a laissé échapper un seul aboiement aigu, Daniels a su que quelque chose n’allait pas.

Max ne regardait pas une valise. Il ne reniflait pas un voyageur suspect. Son attention était fixée sur un ours en peluche.

L’animal en peluche appartenait à une petite fille aux boucles rousses nichées sous un bob jaune. Elle se tenait avec ses parents, serrant l’ours contre sa poitrine. À première vue, rien d’inhabituel. Juste une jeune famille prenant l’avion pour rendre visite à grand-mère.

À titre indicatif seulement

Mais Max ne se souciait pas des premiers regards.

« Excusez-moi », dit l’agent Daniels d’un ton calme mais ferme en s’approchant. « Je dois jeter un coup d’œil rapide à votre ours. »

La fille recula. « Il s’appelle M. Pickles », dit-elle. Ses lèvres tremblaient.

Daniels s’agenouilla, adoucissant sa voix. « M. Pickles va m’aider pour quelque chose d’important. Je te promets que tu le ramèneras tout de suite. »

La famille fut escortée jusqu’à une salle de contrôle privée. Les sacs furent à nouveau scannés. Les poches vidées. Tout était prêt. Mais Max ne bougea pas. Il resta planté devant la fillette et son ours, les oreilles en avant, le corps en alerte.

la suite en page suivante

Leave a Comment