“Notre promesse, c’est qu’il se passe quelque chose tous les soirs à 19 heures.
On veut faire de cette émission le rendez-vous de l’événement. ‘Tout le monde veut savoir’, c’est ce qu’on a envie de dire en interview, pour arracher la vérité et dépasser la langue de bois.
Il y a aussi une dimension pédagogique : débattre, analyser ce qui fait l’actualité, en France mais aussi à l’international”, a détaillé Benjamin Duhamel, en reconnaissant que l’access-prime time n’est pas des plus simples pour s’imposer :
“À 19 heures, la concurrence est forte mais c’est très stimulant.” Surfant sur ce qui attend les Français depuis la fin des législatives, alors qu’Emmanuel Macron tarde encore à annoncer son nouveau Premier ministre, le journaliste de 30 ans a déclaré : “L’année va être très politique, mais je veux qu’on parle de tout dans mon émission : de l’économie, de la culture, des témoignages, des faits divers quand ils disent quelque chose de la société.”
Un journaliste qui succède à Yves Calvi avec fierté
la suite en page suivante