Gendarme tué à Mougins : les confidences déchirantes de ses collègues sur son rêve brisé.

L’incident a rapidement attiré l’attention nationale, notamment avec l’intervention du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, qui n’a pas tardé à réagir en condamnant sévèrement cet acte. Le ministre a qualifié le conducteur en fuite de “délinquant de la route”, exprimant ainsi toute la gravité de cet acte irresponsable. Heureusement, grâce à l’efficacité des forces de l’ordre, le chauffard a été arrêté à Cannes durant la nuit suivant le drame.

Malgré les efforts des secouristes et de ses collègues pour le réanimer,l’adjudant Éric Comyn, âgé de 54 ans, n’a pas survécu. Il est décédé des suites d’un arrêt cardio-respiratoire sur une aire d’autoroute. Cet événement tragique rappelle douloureusement que les contrôles routiers, bien que routiniers, peuvent parfois tourner au drame.

Émotion et recueillement après la mort de l’adjudant Éric Comyn

La mort de l’adjudant Éric Comyn a bouleversé la communauté locale de Mougins et au-delà. Ce gendarme, père de deux enfants âgés de 12 et 16 ans, était un homme respecté et aimé par ses collègues comme par les citoyens. Engagé depuis plus de 30 ans dans la gendarmerie, Éric Comyn avait consacré sa vie à la sécurité publique. Depuis 2007, il faisait partie du peloton motorisé de Mandelieu-la-Napoule, où il avait su se faire apprécier pour son calme et son professionnalisme.

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