Elle sourit, le regard calme. « Triste ? Pas du tout. Je peux être avec toi, cuisiner pour toi, voir Kabir grandir. C’est assez de bonheur. »
Ses paroles m’ont guéri plus que le temps.
Je partage cette histoire non pas pour me réjouir de la chute de qui que ce soit, mais pour rappeler qu’aucune mère ne mérite l’humiliation. Elles n’ont pas besoin de pitié, seulement de respect.
Si vous avez déjà vu votre mère se rétrécir chez quelqu’un d’autre, sachez que vous n’êtes pas seul. Vous pouvez vous relever, partir et recommencer votre vie avec dignité.
Je pensais autrefois que la patience était une force. Maintenant, je sais que la vraie force consiste à refuser de laisser le silence enterrer l’amour.
Merci à tous ceux qui liront ces lignes