La Bible est un grand mensonge

Lorsqu’on lit la Bible en hébreu, des passages révèlent clairement la multiplicité des Elohim, mais les rédacteurs bibliques ont souvent modifié ces versets pour les rendre compatibles avec le monothéisme imposé. Par exemple, des termes comme « Seigneur » ou « Éternel » renvoient au nom Yahvé, qui n’est pas celui d’une force supérieure mais bien celui d’un individu de chair et de sang. De plus, le nom de Yahvé aurait été transcrit des siècles après avoir été prononcé pour la première fois, et les voyelles n’ont été ajoutées qu’environ 1700 ans plus tard, accentuant la confusion.

Selon certains versets du Deutéronome, Yahvé ne s’attribue qu’une portion réduite de l’humanité, bien qu’il soit souvent présenté comme le créateur de l’humanité entière. Ce dieu « unique » a scellé une alliance avec un peuple restreint, qu’il utilise comme une armée pour conquérir des territoires dans des bains de sang récurrents. Ce paradoxe entre un dieu universel et son comportement exclusif envers un seul peuple soulève des incohérences flagrantes que le dogmatisme a tenté de masquer en les attribuant à des métaphores et des allégories.

Yahvé, les Elohim et le contrôle des peuples

La lecture attentive des récits de l’Ancien Testament montre que Yahvé était l’un des Elohim, et qu’il ne représentait pas un dieu unique, mais un être parmi d’autres. Ce groupe de puissants, que l’on désigne par « Elohim », était inquiet pour sa technologie avancée et son pouvoir, qu’il utilisait pour semer la terreur et assoir son autorité. La philologie hébraïque indique que les supposés miracles dans la Bible n’étaient que des démonstrations de technologie, incompréhensibles pour les hommes de l’époque.

En Genèse, les « fils des Elohim » prennent pour épouses les femmes d’Adam, une union qui souligne que les Elohim n’étaient ni immatériels ni divins. Ces êtres physiques, soumis aux mêmes besoins que les humains, sont même décrits comme capables d’engendrer une descendance. Ces Elohim, parmi lesquels Yahvé, étaient connus pour leur cruauté, n’hésitant pas à ordonner des exterminations massives, des comportements qui aujourd’hui seraient qualifiés de « nettoyage ethnique ».

Yahvé ne dirigeait qu’un seul peuple, celui avec lequel il avait établi des liens, même si ces méthodes nous semblent aujourd’hui inacceptables. Mais en réalité, il ne s’est jamais présenté comme le dieu universel de toute l’humanité. Il n’agissait que dans l’intérêt de son peuple, et non pour une quelconque mission de bienveillance universelle.

L’impact durable d’une manipulation millénaire

 

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