Le décès de François, à l’âge de 88 ans des suites d’une hémorragie cérébrale , intervient à un moment crucial : selon certains exégètes de la prophétie, il ne resterait plus qu’un seul pape à élire , désigné sous le vocable « Petrus Romanus » (Pierre le Romain).
Ce dernier dirigerait l’Église durant une période de tribulations extrêmes , jusqu’à la chute de Rome et l’avènement du Jugement dernier. Ces éléments alimentent les conjectures les plus apocalyptiques, particulièrement à l’approche de l’année 2027 , que certains cercles religieux associent à la parousie du Christ.
Trois prétendants au nom prédestiné
Coïncidence troublante : parmi les neuf cardinaux pressentis pour la succession, trois présages des variantes du prénom Pierre . Simple jeu du hasard ou signe providentiel ? On compte notamment le cardinal Peter Erdő (Hongrie) , Peter Turkson (Ghana) et Pietro Parolin (Italie) , tous des personnalités éminentes de la Curie romaine .
Ce détail attise la curiosité des passionnés de prophéties. Car si « Pierre le Romain » devait effectivement monter sur le trône de saint Pierre, cela en ferait… le dernier pape selon les prédictions malachiennes .
Une prophétie aux multiples conférences
Les premières inventions de la liste montrent une précision étonnante jusqu’au pontificat d’Urbain VII (1590). Par la suite, le style devient plus allusif , permettant diverses interprétations. Certaines correspondances n’en restent pas moins frappantes :
- Jean-Paul II, né pendant une éclipse solaire, serait désigné par « De labore solis » (du labeur du soleil).
- Benoît XVI, ancien membre de la congrégation olivétaine, correspondrait à « Gloria olivae » (gloire de l’olivier).
La clarté s’estompe avec les papiers modernes, rendant les analyses plus hypothétiques mais non moins captivantes .
L’attrait persistant pour les mystères prophétiques
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