Malgré les pertes matérielles, Gibson reste optimiste, voyant cette épreuve comme une forme de « purification ». Cependant, il a déploré la destruction d’une partie de sa précieuse collection d’œuvres d’art et de livres anciens du XVIe siècle, des objets qu’il considère comme irremplaçables. Pour lui, ces pertes rappellent la fragilité des biens matériels, même si l’esprit humain, lui, demeure indestructible.
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