Un couple adopte un bébé abandonné à la peau rouge, censé mourir jeune, et en fait une femme épanouie .

Les chances de survie de Mui étaient minces en raison de sa maladie de peau, l’ichtyose arlequine. Cette maladie affecte son apparence et fait notamment que sa vie est truffée de regards interrogateurs et de regards de travers.

Au cours de ses années de lycée, les intimidateurs lui disaient qu’elle n’aurait pas dû naître, et les moqueries constantes ont laissé Mui brisée et prête à abandonner.

Les experts médicaux avaient prédit qu’elle mourrait au cours des premières années de sa vie. Tina et Rog sont donc intervenus pour lui offrir un foyer aimant aussi longtemps qu’elle en aurait besoin. Tina se souvient de la première fois qu’elle a vu Mui :

“Elle est entrée dans la pièce et je pouvais voir cet esprit. Je pouvais voir qu’elle voulait s’amuser. Elle voulait aller de l’avant.”

ILS ONT CHOISI D’ADOPTER

Mui avait un an et demi lorsque le couple a décidé de l’accueillir, et ils ont été surpris de la voir grandir et s’épanouir en tant que bambin.

Lorsque Mui a eu trois ans, ses parents d’accueil ont décidé de l’adopter et se sont réjouis de partager leur vie avec la fille qu’ils avaient appris à connaître et à aimer. Rog a partagé :

“Nous l’avons rencontrée dans un hôpital, et ma femme a dit que nous nous occuperions de notre fille pendant environ un week-end, et c’était il y a 20 ans, donc cela a été un très long week-end.”

LE DESTIN AVAIT D’AUTRES PLANS

Malheureusement, le couple a dû faire face à un immense jugement, à une violente opposition et à des insultes parce qu’il avait choisi d’adopter Mui. Tina et Rog pouvaient concevoir un bébé naturellement et prévoyaient d’agrandir leur famille, mais le destin avait d’autres plans. Rog a déclaré :

“Nous étions volontaires et avions convenu de rendre visite Mui pendant quelques semaines cet été-là avant de commencer notre nouvelle vie et une famille en Australie. Les plans changent !!! Mui est devenue notre fille, et nos voyages se sont entremêlés pour toujours !”.

LA DURETÉ DE L’INTIMIDATION EN LIGNE

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