Morris a révélé que l’environnement était devenu si oppressif que les employés avaient reçu des documents pour signaler toute personne ayant une opinion contraire aux actions du conseil scolaire.
Des inquiétudes ont été soulevées quant à l’impact potentiel de cette action sur la liberté d’expression et la discussion libre dans les salles de classe.
Morris se souvient avoir entendu lors de formations sur l’équité que les « femmes blanches, chrétiennes et valides » dominaient le pouvoir dans les écoles, soulignant la nature conflictuelle des discussions et la nécessité de changer cela.
Elle a exprimé dans sa lettre de démission le malaise que ces formations avaient provoqué, ce qui a donné lieu à des discussions sur la manière d’aborder ces points de vue en classe.
La finale : prendre une position courageuse
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