Un homme revient d’un voyage d’affaires et voit un nouveau-né sur la table avec deux notes à côté – Histoire du jour
“Mon bébé”, dit-elle en claquant des doigts. “Je l’ai laissée ici il y a deux ans ? Désolé, mais j’étais un peu défoncée et mon copain habite dans le quartier d’à côté et je me suis perdue. Tu sais ce que c’est !”
“Désolé, je ne sais pas comment c’est parce que je n’ai jamais abandonné un enfant sur le pas de la porte de qui que ce soit”, dit froidement Kyle. “Je me dépêcherais si j’étais vous, sinon j’appelle la police.”
À des fins d’illustration uniquement | Source : Unsplash
“Écoute-moi bien”, dit la femme d’un ton tranchant. “J’ai compris que j’avais fait une erreur environ une semaine plus tard quand Burt n’a pas pris mes appels, mais maintenant j’ai besoin de ce bébé !”
“Vous avez besoin d’elle ?”, demanda Kyle avec colère. “Pourquoi avez-vous besoin d’elle ?”
“Burt vient de se trouver un contrat dans la Ligue majeure”, a dit la femme. “Et grâce à ce bébé, des centaines de millions vont atterrir sur mon compte en banque !”
Kyle fit fuir la femme, mais il avait le sentiment qu’il n’avait pas fini de la voir. Et il avait raison. Une semaine plus tard, il fut convoqué au tribunal des affaires familiales. Une certaine Mlle Cherish Vegas contestait l’adoption de la petite Lily.
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Soudain, Kyle fut assailli d’injonctions, reçut la visite des services sociaux à des heures bizarres du jour ou de la nuit, et ses amis et collègues de travail furent interrogés. Cherish voulait vraiment mettre la main sur ces millions !
Le jour de l’audience arriva enfin. Kyle confia nerveusement Lily à l’assistante sociale pour la durée de l’audience et entra. Cherish était là, bien sûr, et un grand homme avec les yeux bleus de Lily était de son côté du tribunal. Ce ne pouvait être que le fameux Burt !
Cherish pleura et dit au juge combien elle aimait son bébé et combien il lui manquait, et comment ses folles années d’université (aujourd’hui révolues et profondément regrettées) l’avaient amenée à le confier à Kyle.
La juge regarda les papiers qu’elle avait sous les yeux. “Par sous sa garde”, vous voulez dire sous son porche, n’est-ce pas, Mademoiselle Vegas ?”, demanda le juge.
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