Je l’ai accompagné. J’ai pris ma place au premier rang – celle que j’avais toujours occupée dans l’ombre de mon dévouement. Ce jour-là, il m’a offert la reconnaissance publique.
Quand il a levé son verre en l’honneur de « la femme qui ne l’avait pas mis au monde mais lui avait donné la vie », j’ai enfin compris.
L’amour véritable ne se mesure pas à l’ADN partagé. Il se construit dans les nuits blanches, les traditions partagées, les mots réconfortants et les engagements tenus. Il grandit dans la constance et la patience. Et parfois, il ne demande qu’un mot pour s’épanouir pleinement.