Si vous vous réveillez dans les premières heures de sommeil, il est souvent facile de vous rendormir. Mais passé un certain point – notamment après 3h du matin – votre cerveau est déjà plus actif. La phase de sommeil paradoxal qui précède l’éveil favorise les rêves riches, voire agités. Ce niveau d’activité rend le retour au sommeil plus long et parfois frustrant.
Plus encore, à ce stade de la nuit, la moindre perturbation peut allonger l’éveil. Un bruit, une pensée intrusive, une lumière… Et plus vous surveillez l’heure, plus l’anxiété monte. Ce cercle vicieux affecte la qualité du sommeil restant. Comprendre ce mécanisme aide à déculpabiliser ces réveils.
L’heure du coucher joue un rôle crucial
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